Exercice n° 4
Clique seulement sur les adjectifs qualificatifs. Quand tu en auras trouvés un certain nombre alors un bouton "correction" apparaîtra sous l'exercice. Si tu cliques dessus, tu auras des informations sur l'évolution de ton travail. A la troisième correction, tu auras accès à la solution.
Maître Cerise offre le morceau de bois à son ami Geppetto qui le prend pour se fabriquer une marionnette extraordinaire capable de danser, de tirer l’épée et de faire des sauts périlleux.
C’est alors qu’on frappa à la porte.
– Entrez – dit le menuisier, sans avoir la force de se relever.
Un petit vieux tout guilleret entra dans l’atelier. Il avait pour nom Geppetto mais les enfants du voisinage, quand ils voulaient le mettre hors de lui, l’appelaient Polenta au motif que sa perruque jaune ressemblait fort à une galette de farine de maïs.
Geppetto était très susceptible. Gare à qui lui donnait de la Polenta ! Il devenait une vraie bête et il n’y avait plus moyen de le tenir.
– Bonjour, Maître Antonio – dit Geppetto – Qu’est-ce que vous faites assis par terre ?
– J’apprends le calcul aux fourmis.
– Grand bien vous fasse !
– Qu’est-ce qui vous amène chez moi, compère Geppetto ?
– Mes jambes ! Maître Antonio, je suis venu vous demander une faveur.
– Me voici, prêt à vous rendre service – répondit le menuisier en se relevant.
– Ce matin, il m’est venu une idée.
– Voyons cela.
– J’ai pensé que je pourrais faire une belle marionnette en bois, mais une marionnette extraordinaire capable de danser, de tirer l’épée et de faire des sauts périlleux. Avec elle, je pourrai parcourir le monde en dénichant ici ou là un quignon de pain et un verre de vin. Qu’en dites-vous ?
– Bravo Polenta ! cria la petite voix, celle qui sortait on ne sait d’où.
C’est alors qu’on frappa à la porte.
– Entrez – dit le menuisier, sans avoir la force de se relever.
Un petit vieux tout guilleret entra dans l’atelier. Il avait pour nom Geppetto mais les enfants du voisinage, quand ils voulaient le mettre hors de lui, l’appelaient Polenta au motif que sa perruque jaune ressemblait fort à une galette de farine de maïs.
Geppetto était très susceptible. Gare à qui lui donnait de la Polenta ! Il devenait une vraie bête et il n’y avait plus moyen de le tenir.
– Bonjour, Maître Antonio – dit Geppetto – Qu’est-ce que vous faites assis par terre ?
– J’apprends le calcul aux fourmis.
– Grand bien vous fasse !
– Qu’est-ce qui vous amène chez moi, compère Geppetto ?
– Mes jambes ! Maître Antonio, je suis venu vous demander une faveur.
– Me voici, prêt à vous rendre service – répondit le menuisier en se relevant.
– Ce matin, il m’est venu une idée.
– Voyons cela.
– J’ai pensé que je pourrais faire une belle marionnette en bois, mais une marionnette extraordinaire capable de danser, de tirer l’épée et de faire des sauts périlleux. Avec elle, je pourrai parcourir le monde en dénichant ici ou là un quignon de pain et un verre de vin. Qu’en dites-vous ?
– Bravo Polenta ! cria la petite voix, celle qui sortait on ne sait d’où.
LES AVENTURES DE PINOCCHIO, Carlo Collodi, (1883) Traduction de Claude Sartirano
Exercice réalisé avec CLICMOT © 2009 SCALPA, tous droits réservés - Utilisation encouragée ;o}